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MATERNITE
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MATERNITE
Une balade entre deux ou trois étages, et même quatre, voire plus...
Dernière édition par Stahlder le Sam 7 Fév 2015 - 19:41, édité 1 fois
Stahlder- A.O.C.
- Messages : 2677
Date d'inscription : 04/02/2011
Humeur : je dis ça, je dis rien...
Re: MATERNITE
MATERNITE
-«Elle peut rester comme ça pendant des heures. »
L’enfant tourne la tête une seconde et se remet à sucer son pouce en fixant le hublot de la machine à laver.
« C’est une enfant prématurée. Ceci explique cela. »
-« Ceci, la couveuse, cela, votre machine à laver ? »
-« Voilà ! Cette fascination. Elle est comme hypnotisée. »
L ‘enfant regarde tourner le linge sans se soucier des voix qui se croisent au-dessus de sa tête, ponctuant le ronflement régulier du moteur, celle de sa mère, familière, celle de la voisine du dessous, légèrement plus rauque.
-« Moi , le mien, ce serait plutôt l’aspirateur. Il s’endort sur fond d’aspirateur. »
-« Ah, c’est donc ça que vous faites votre poussière dans la soirée… »
-« Non, l ‘aspirateur, je le passe le matin, à la même heure que vous, c’est pourquoi vous ne l’entendez pas. Le soir, c’est un enregistrement que je lui passe sur mon ordi, un truc en boucle de 70 minutes. »
&
Une machine à laver identique tourne à l’étage du dessus. Elle essore de quoi alimenter le va et vient d’un fer à vapeur.
-« Maman, n’oublie pas mes affaires de gym. On a plein air demain après midi. »
Une main, ornée d’une bague à tête de chat, se fige au milieu d’un T-shirt.
« Elles sont pliées sur le lit, tes affaires de gym. Et tes nouvelles chaussettes à rayures tournent dans la deuxième fournée. »
-« Oooo… Keeeey… »
Assis en position du lotus sur la moquette de sa chambre, un garçon boutonneux oscille d’avant en arrière. Epinglé au milieu du mur, un samouraï looké Manga , regarde par dessus son épaule une vidéo sur l’écran géant posé à même le sol.
La voix de sa mère vient s’intercaler entre deux interjections de Ping et Pong, film de kong fu en vf.
« Et s’il te plaît, je ne devrais pas avoir à te le redire, tes chemises sur les cintres bleus, les cintres rouges , c’est pour mes chemisiers , les cintres blancs pour mes jupes et les cintres verts pour tes pantalons. »
&
Dans la cuisine de l’appartement du dessous , le cycle de lessive s’achève sur une série de hoquets cathareux.
-« Mais pourquoi précisément l’aspirateur ? »
-« Allez savoir… Un accouchement parfaitement normal… »
-« Allaitement au sein ? »
-« Il n’a jamais sucé son pouce. »
Devant le hublot, la petite fille suit des yeux les derniers remous du linge qui s’immobilise en une boule multicolore, puis fixe le tambour qui oscille à présent à vide…
&
A l’étage du dessus, en une synchronisation parfaite, la machine s’est aussi arrêtée de tourner .
Brosse chiffon cirage brosse brosse…Les paires de chaussures s’alignent en bon ordre les unes à côté des autres sur les couvercles de boîtes en carton, blanches ornées de pastilles noires , rouges, brunes, chaque paire, brune, rouge, noire, polie comme un miroir sur sa boîte encore close.
La porte de la penderie refermée, la porte du frigidaire pivote à présent silencieusement sur ses gonds . Des boîtes de produits surgelés sont rangées côte à côte sur les clayettes métalliques. Poissons panés avec ou sans sauce tomate, avec ou sans oignons, hamburgers, crêpes au fromage…
La main baguée redresse machinalement les emballages superposés , intacts, en colonnes merveilleusement rectilignes, s’arrête, remonte la troisième pile à partir de la gauche, en extrait le carton intitulé « steaks hachés », date limite de vente 12 nov.
Vide.
« Qui c’est qui m’a laissé l’emballage des steaks surgelés dans le frigo ? »
« …. »
« Qui c’est qui s’est fait des steaks hachés à midi ? »
« Ben, moi.. » La voix cassée par la puberté traverse le couloir pénètre dans la cuisine accompagne l’emballage de carton béant qui va mourir dans la poubelle qu’un pied chaussé d’un escarpin verni ouvre d’une pression rapide et précise.
« Et alors, quand on termine un paquet de steaks surgelés, on remet la boîte vide au frais ? »
La main baguée remonte prestement la colonne avec un ramequin de filets sauce madeire afin de combler le vide incongru du quatrième étage de la troisième pile à partir de la gauche.
-« Mais chavais pas qu’il était vide. »
-« Depuis combien de temps tu te fais des steaks hachés ? quatre steaks par paquet. Ni plus ni moins . Deux steaks hier, deux steaks aujourd’hui et tu me remets l’emballage dans la pile comme s’ils t ‘en avaient mis un de rab pour tes beaux yeux ? »
« … »
&
« Je vous dérange pas ? « La main baguée voltige vaguement pour s’excuser de cette intrusion..
-« Pensez vous, je viens juste de lancer ma vaisselle . »
Serrant son doudou contre son cœur une petite fille somnole devant le hublot de la machine où l’eau savonneuse envahit les rangées d’assiettes et de verres.
-« Moi, Je viens à peine de la finir. Un évier plein à ras bords. Ca fait plusieurs jours que ma machine est en panne. »
-« Et votre grand garçon , il vous donne un coup de main ? »
-« J’aime autant la faire moi même , la dernière fois , il m’avait mis de la mousse partout. »
-« A cet âge là.. .. Mais en fait , y a pas d’âge… les hommes.. » Soupir.
-« Et puis, y en a plus pour longtemps. Le temps qu’ils viennent me la réparer. Elle est sous garantie. Une garantie de 5 ans. »
-« Vous avez bien raison. Faut pas lésiner sur la qualité et toujours prendre la garantie supplémentaire . »
-« Une Allemande. Des gens sérieux. Même si de nos jours tout est fabriqué en Chine . »
Un bruit d’aspirateur retentit à l’étage du dessous .
« Ca y est, c’est la voisine qu’endort son petiot… Comme qui dirait une drogue… Pourtant , elle l’a allaité au sein. «
« Mouais.. Faut pas croire tout ce qu’on lit dans les magazines . Votre petite , en tout cas, elle tiendra pas jusqu’au rinçage, elle ronflote déjà … et à part ça, votre aîné, son travail lui plaît ? »
« En tout cas, c’est un travail. Je lui ai trouvé une place dans le métro, par relations, dans l’équipe d’entretien..»
« Sans piston, de nos jours , on a plus rien. »
&
Deux heures du matin. Une main ornée d’une bague à tête de chat entrouvre la porte d’une chambre d’adolescent. Le garçon n’est plus qu’une forme oblongue emmitouflée dans un couvre-lit à rayures, un lambamen,, une sorte de linceul ramené de Madagascar dans les bagages de quelque parent éloigné, il y a bien des années…
Un index à l’ongle carmin parfaitement manucuré appuie sur une touche et la cassette Ping et Pong usée jusqu’à la corde, se rembobine à toute allure dans la semi obscurité de l’antre du dormeur.
C’est curieux , cette fixation sur les vieilles VHS, à l’époque du numérique… Peut être une petite psycho thérapie… Il lui faudra googler ces symptômes sur Internet…
&
Devant la grille close d’une bouche de métro , un jeune homme en bleu de travail consulte sa montre. Un geste inutile. Cette femme est la ponctualité incarnée. Et de fait, le staccato d’une paire d’escarpins tournant au coin de la rue fait naître un sourire furtif sur son visage. Elle l’embrasse. Sa main ornée d’une bague à tête de chat remonte le long la fermeture éclair de sa salopette, tire sur la languette, dégageant le col de sa chemise. Il emprisonne ses doigts, ouvre la grille et l’entraîne le long des couloirs carrelés de blanc. Après quelques tours et détours par des passages dérobés, ils s’enlacent sur le ciment.
Elle : « Ils ont fait un film sur le Métro , la nuit. »
Lui : « Subway »
Elle : « Oui , Subway… C’est dingue , tout ce qui s’y passe.. On le croirait jamais, à le voir de jour.. »
Ils roulent sur le sol. Elle chuchote à son oreille. « Tu crois qu’il y a vraiment des gens comme ça , ici, la nuit ? »
Lui : « Non, penses tu.. dans les catacombes , je dis pas, mais ici, j’ai jamais entendu parler de ça.. »
Elle :« N ‘empêche, c’était un bon film… »
Lui : « Ouais, j’aurais bien aimé qu’ils me filment , moi aussi.. »
Elle , enjôleuse :.« Pas de problème, la prochaine fois, j’amène ma webcam.. »
Les échos d’outils métalliques heurtant les rails et le martellement lointain de perceuses à percussion se répercutent au long des corridors. Les halètements de la femme et du jeune homme ne figureront donc pas ici…
&
A quelques rues de là, un enfant se met à pleurer dans la nuit. Ses pleurs sont vite noyés par le ronronnement d’un aspirateur , et une mère ensommeillée se réentortille avec volupté entre ses draps…
-«Elle peut rester comme ça pendant des heures. »
L’enfant tourne la tête une seconde et se remet à sucer son pouce en fixant le hublot de la machine à laver.
« C’est une enfant prématurée. Ceci explique cela. »
-« Ceci, la couveuse, cela, votre machine à laver ? »
-« Voilà ! Cette fascination. Elle est comme hypnotisée. »
L ‘enfant regarde tourner le linge sans se soucier des voix qui se croisent au-dessus de sa tête, ponctuant le ronflement régulier du moteur, celle de sa mère, familière, celle de la voisine du dessous, légèrement plus rauque.
-« Moi , le mien, ce serait plutôt l’aspirateur. Il s’endort sur fond d’aspirateur. »
-« Ah, c’est donc ça que vous faites votre poussière dans la soirée… »
-« Non, l ‘aspirateur, je le passe le matin, à la même heure que vous, c’est pourquoi vous ne l’entendez pas. Le soir, c’est un enregistrement que je lui passe sur mon ordi, un truc en boucle de 70 minutes. »
&
Une machine à laver identique tourne à l’étage du dessus. Elle essore de quoi alimenter le va et vient d’un fer à vapeur.
-« Maman, n’oublie pas mes affaires de gym. On a plein air demain après midi. »
Une main, ornée d’une bague à tête de chat, se fige au milieu d’un T-shirt.
« Elles sont pliées sur le lit, tes affaires de gym. Et tes nouvelles chaussettes à rayures tournent dans la deuxième fournée. »
-« Oooo… Keeeey… »
Assis en position du lotus sur la moquette de sa chambre, un garçon boutonneux oscille d’avant en arrière. Epinglé au milieu du mur, un samouraï looké Manga , regarde par dessus son épaule une vidéo sur l’écran géant posé à même le sol.
La voix de sa mère vient s’intercaler entre deux interjections de Ping et Pong, film de kong fu en vf.
« Et s’il te plaît, je ne devrais pas avoir à te le redire, tes chemises sur les cintres bleus, les cintres rouges , c’est pour mes chemisiers , les cintres blancs pour mes jupes et les cintres verts pour tes pantalons. »
&
Dans la cuisine de l’appartement du dessous , le cycle de lessive s’achève sur une série de hoquets cathareux.
-« Mais pourquoi précisément l’aspirateur ? »
-« Allez savoir… Un accouchement parfaitement normal… »
-« Allaitement au sein ? »
-« Il n’a jamais sucé son pouce. »
Devant le hublot, la petite fille suit des yeux les derniers remous du linge qui s’immobilise en une boule multicolore, puis fixe le tambour qui oscille à présent à vide…
&
A l’étage du dessus, en une synchronisation parfaite, la machine s’est aussi arrêtée de tourner .
Brosse chiffon cirage brosse brosse…Les paires de chaussures s’alignent en bon ordre les unes à côté des autres sur les couvercles de boîtes en carton, blanches ornées de pastilles noires , rouges, brunes, chaque paire, brune, rouge, noire, polie comme un miroir sur sa boîte encore close.
La porte de la penderie refermée, la porte du frigidaire pivote à présent silencieusement sur ses gonds . Des boîtes de produits surgelés sont rangées côte à côte sur les clayettes métalliques. Poissons panés avec ou sans sauce tomate, avec ou sans oignons, hamburgers, crêpes au fromage…
La main baguée redresse machinalement les emballages superposés , intacts, en colonnes merveilleusement rectilignes, s’arrête, remonte la troisième pile à partir de la gauche, en extrait le carton intitulé « steaks hachés », date limite de vente 12 nov.
Vide.
« Qui c’est qui m’a laissé l’emballage des steaks surgelés dans le frigo ? »
« …. »
« Qui c’est qui s’est fait des steaks hachés à midi ? »
« Ben, moi.. » La voix cassée par la puberté traverse le couloir pénètre dans la cuisine accompagne l’emballage de carton béant qui va mourir dans la poubelle qu’un pied chaussé d’un escarpin verni ouvre d’une pression rapide et précise.
« Et alors, quand on termine un paquet de steaks surgelés, on remet la boîte vide au frais ? »
La main baguée remonte prestement la colonne avec un ramequin de filets sauce madeire afin de combler le vide incongru du quatrième étage de la troisième pile à partir de la gauche.
-« Mais chavais pas qu’il était vide. »
-« Depuis combien de temps tu te fais des steaks hachés ? quatre steaks par paquet. Ni plus ni moins . Deux steaks hier, deux steaks aujourd’hui et tu me remets l’emballage dans la pile comme s’ils t ‘en avaient mis un de rab pour tes beaux yeux ? »
« … »
&
« Je vous dérange pas ? « La main baguée voltige vaguement pour s’excuser de cette intrusion..
-« Pensez vous, je viens juste de lancer ma vaisselle . »
Serrant son doudou contre son cœur une petite fille somnole devant le hublot de la machine où l’eau savonneuse envahit les rangées d’assiettes et de verres.
-« Moi, Je viens à peine de la finir. Un évier plein à ras bords. Ca fait plusieurs jours que ma machine est en panne. »
-« Et votre grand garçon , il vous donne un coup de main ? »
-« J’aime autant la faire moi même , la dernière fois , il m’avait mis de la mousse partout. »
-« A cet âge là.. .. Mais en fait , y a pas d’âge… les hommes.. » Soupir.
-« Et puis, y en a plus pour longtemps. Le temps qu’ils viennent me la réparer. Elle est sous garantie. Une garantie de 5 ans. »
-« Vous avez bien raison. Faut pas lésiner sur la qualité et toujours prendre la garantie supplémentaire . »
-« Une Allemande. Des gens sérieux. Même si de nos jours tout est fabriqué en Chine . »
Un bruit d’aspirateur retentit à l’étage du dessous .
« Ca y est, c’est la voisine qu’endort son petiot… Comme qui dirait une drogue… Pourtant , elle l’a allaité au sein. «
« Mouais.. Faut pas croire tout ce qu’on lit dans les magazines . Votre petite , en tout cas, elle tiendra pas jusqu’au rinçage, elle ronflote déjà … et à part ça, votre aîné, son travail lui plaît ? »
« En tout cas, c’est un travail. Je lui ai trouvé une place dans le métro, par relations, dans l’équipe d’entretien..»
« Sans piston, de nos jours , on a plus rien. »
&
Deux heures du matin. Une main ornée d’une bague à tête de chat entrouvre la porte d’une chambre d’adolescent. Le garçon n’est plus qu’une forme oblongue emmitouflée dans un couvre-lit à rayures, un lambamen,, une sorte de linceul ramené de Madagascar dans les bagages de quelque parent éloigné, il y a bien des années…
Un index à l’ongle carmin parfaitement manucuré appuie sur une touche et la cassette Ping et Pong usée jusqu’à la corde, se rembobine à toute allure dans la semi obscurité de l’antre du dormeur.
C’est curieux , cette fixation sur les vieilles VHS, à l’époque du numérique… Peut être une petite psycho thérapie… Il lui faudra googler ces symptômes sur Internet…
&
Devant la grille close d’une bouche de métro , un jeune homme en bleu de travail consulte sa montre. Un geste inutile. Cette femme est la ponctualité incarnée. Et de fait, le staccato d’une paire d’escarpins tournant au coin de la rue fait naître un sourire furtif sur son visage. Elle l’embrasse. Sa main ornée d’une bague à tête de chat remonte le long la fermeture éclair de sa salopette, tire sur la languette, dégageant le col de sa chemise. Il emprisonne ses doigts, ouvre la grille et l’entraîne le long des couloirs carrelés de blanc. Après quelques tours et détours par des passages dérobés, ils s’enlacent sur le ciment.
Elle : « Ils ont fait un film sur le Métro , la nuit. »
Lui : « Subway »
Elle : « Oui , Subway… C’est dingue , tout ce qui s’y passe.. On le croirait jamais, à le voir de jour.. »
Ils roulent sur le sol. Elle chuchote à son oreille. « Tu crois qu’il y a vraiment des gens comme ça , ici, la nuit ? »
Lui : « Non, penses tu.. dans les catacombes , je dis pas, mais ici, j’ai jamais entendu parler de ça.. »
Elle :« N ‘empêche, c’était un bon film… »
Lui : « Ouais, j’aurais bien aimé qu’ils me filment , moi aussi.. »
Elle , enjôleuse :.« Pas de problème, la prochaine fois, j’amène ma webcam.. »
Les échos d’outils métalliques heurtant les rails et le martellement lointain de perceuses à percussion se répercutent au long des corridors. Les halètements de la femme et du jeune homme ne figureront donc pas ici…
&
A quelques rues de là, un enfant se met à pleurer dans la nuit. Ses pleurs sont vite noyés par le ronronnement d’un aspirateur , et une mère ensommeillée se réentortille avec volupté entre ses draps…
Stahlder- A.O.C.
- Messages : 2677
Date d'inscription : 04/02/2011
Humeur : je dis ça, je dis rien...
Re: MATERNITE
Parfois on rate des trucs...
Là, je viens de me payer un voyage dans le passé, du temps où j'habitais en hlm ! Les conversations de jeunes mamans, les trucs pour endormir les petits...
Je me souviens: pour endormir ma fille, il fallait lui faire faire un "tour de parking" en voiture...
Chacun son truc !
Là, je viens de me payer un voyage dans le passé, du temps où j'habitais en hlm ! Les conversations de jeunes mamans, les trucs pour endormir les petits...
Je me souviens: pour endormir ma fille, il fallait lui faire faire un "tour de parking" en voiture...
Chacun son truc !
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le bonheur est une petite chose que l'on grignote, assis par terre, au soleil
Myrrha- Démodérateur
-
Messages : 7747
Date d'inscription : 26/03/2010
Localisation : là-haut sur mon nuage
Humeur : des étoiles dans les yeux
Re: MATERNITE
Stahlder, un peu sordide ton histoire. Autistique aussi, violence de l'abandon et des conséquences tragiques.
Désespoir des enfants isolés, des parents aussi qui n'ont que du vide à offrir.
Dans mon quotidien j'en vois souvent de ces petits à l'âme chavirée.
Tenter tant bien que mal de les aider, vaille que vaille.
Désespoir des enfants isolés, des parents aussi qui n'ont que du vide à offrir.
Dans mon quotidien j'en vois souvent de ces petits à l'âme chavirée.
Tenter tant bien que mal de les aider, vaille que vaille.
ibiscus- A.O.C.
-
Messages : 1694
Date d'inscription : 02/11/2015
Age : 66
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